Joris-Karl Huysmans à Lourdes, 11 septembre 1904
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« J’allume le cierge qu’on m’apporte. (…) La procession qui nous précédait nous a quittés, pour la bénédiction des malades ; après avoir traversé toute l’esplanade, elle a rejoint le Rosaire, et là, sur le parvis, en colonnes serrées, elle se range. (…) D’un bout à l’autre de la façade, une grande ligne s’étend, blanche en haut et noire en bas, la ligne tracée par les prêtres dont les surplis coupent la soutane aux genoux. » (J.-K. Huysmans, Les Foules de Lourdes (Ch. VIII), 1906)